Monday 29 September 2014

Le gorafi élu source d'information la plus fiable en 2014


casimir

Gentilly - C'est un jour à marquer d'une pierre blanche à la rédaction du Gorafi. Aujourd'hui, les meurtriers toulousains de l'affaire dite "du pain au chocolat" et les minables qui gagnent moins de 10 000 euros par mois ne viendront pas ternir les visages de l'équipe de journaliste amateurs qui travaillent d’arrache-pied dans cette cave sans aération de 12m2 à Gentilly (94). C'est un grand cri de joie qui accueille la nouvelle à 13h30, juste après la traditionnelle pause café : Casimir a décerné au journal le titre de "la source d'information la plus fiable en France en 2014". La compétition était pourtant affutée : Pif Gadget et Super Picsou Géant étaient au coude à coude pour le précieux sésame qui ouvre la porte vers le prestigieux "World Award of Golden News" décerné en décembre à New-York par Rupert Murdoch.

"Nous avons tous travailler très dur pour avoir ce prix. Michel est même allé jusqu'à égorger un poulet sur son clavier pour vérifier ses sources. Ce titre, c'est une consécration. Le rêve de toute une vie", nous raconte le directeur de publication tout sourire.

Le rédacteur en chef de Pif Gadget, visiblement très déçu, a tenu à féliciter les vainqueurs, non sans amertume : "On pensait que les poids sauteurs auraient un meilleur impact auprès des 18-35 ans. Bravo quand même." Super Picsou Géant n'a pas souhaité s'exprimer sur cette annonce. Nos sources internes parlent d'un Donald au bord des larmes et d'un possible suicide de Dingo dans le prochain numéro.

Lancé il y a peu, le Gorafi fait désormais partie de la cour des grands grâce à ce prix décerné à l'unanimité pour "l'ensemble des articles publiés en 2014", incluant le fameux article peu scrupuleux décrivant la vie miséreuse de Nicolas Sarkozy à Neuilly (92), contraint de se procurer des Rolex à la boutique Emmaüs récemment ouverte rue de l'amiral Fournier. Article vérité mais supprimé au bout de quelques heures par respect pour la famille. L'affaire a toutefois marqué les esprits : "Nous avons voulu saluer un réel travail de fond et non le globiboulga habituel de la presse Française" nous confit Casimir, visiblement excédé par le traitement de l'information dans notre pays.

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